Les
Milles et Une Nuit Inoubliables
WAHIBA
Mestoui vous offre une visite
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Qui est Wahiba?
Je suis née
à Bruxelles en 1979 de parents Algérien. Mon
père a grandit à la Casbah d'Alger et ma mère
est originaire de Blida, la ville des roses.
Mestoui
Wahiba, la petite Fleur d'Alger
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La mode, les étoffes, les files
à coudre sont des choses que je n'ai pu éviter
durant mon enfance.
Un savoir faire qui se transmet depuis
3 générations déjà, en
effet,j'ai toujours été émerveillée
par ses nombreuses femmes de mon entourage qui créaient
des tenues, brodaient...
Je confectionnais d'ailleurs dés l'âge
de 5 ans les robes pour mes poupées. Mes vacances
en Algérie était synonyme de soleil
mais également de confection de robes pour
les mariées de la famille faite par ma mère
et ma grand-mère. J'aimais les voir réaliser
des tenues merveilleuses que porteront des femmes
le plus beau jour de leur vie.
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Votre initiation
au modélisme?' |
J'ai fais des études artistiques qui dans un premier
temps m'ont dirigé vers le dessin et la peinture. Mais
je ressenti le besoin de concrétiser en trois dimensions
les oeuvres que je réalisais, je voulais donner vie
à mes créations, je voulais les voir s'animer.
C'est donc tout naturellement que je me diriga vers la mode
et les stylisme qui pouvaient me permettre toutes ces fantaisies.Dans
un premier temps, j'ai fait de la maroquinerie, on ne sait
jamais, un jour,je sortirais ma gamme d'accessoires..Dans
le stylisme, voir les femmes porter mes tenues me réjouît,
mes créations ne sont plus figées, elles sont
en mouvements.
Aujourd'hui, ce sont des
femmes qui portent mes robes. Mon style est assez éclectique,
Algérienne vivant à Bruxelles, une ville cosmopolite
qui m'a permis de m'associer à tous les genres,
mes projets sont nombreux
et j'y travaille avec l'aide de mon mari...en autre développer
ma marque et imposer les tendances orientales en Europe. Pour
ma prochaine collection, je vais tenter de concilier certaines
tenues Algériennes au Caftan Marocain...en espérant
que le public appréciera, il reste pour moi le seul
juge.
La
suite