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Les pensées du mois de Avril 2005

Les grandes figures de l’histoire de l’humanité

 


Les grandes figures de l’histoire de l’humanité, ont prouvé par leur volonté, leur espoir et parfois même par leur ambition personnelle, qu’un idéal pouvait être atteint si nous accordions une confiance incontestable envers soi-même. Elles ont été les témoins de cette fidélité possible pour franchir les obstacles du temps qui sont l’indécision et l’ignorance. Il est évident que dans cette ascension vers la réalisation, l’homme commet inévitablement des erreurs d’appréciation, de contenance et bien sûr, de tolérance. La tolérance n’étant pas une position de faiblesse où il est de bon ton de dire : « laissez-vous allez, laissez faire !» Au contraire, celle-ci exige l’écoute, l’observation, la compréhension et la connaissance.

Œuvrer pour le bien d’un peuple, d’un pays ou tout simplement de l’humanité, requiert un esprit de service et de tolérance. C’est à dire, un élan de solidarité sans espoir de récompense, sinon la satisfaction d’avoir apporté une aide précieuse à l’émancipation de la collectivité humaine. Ce qui est accompli sous l’égide de cette oeuvre, peut être appelé alors « la mission » ou la réalisation d’un idéal qu’il soit personnel ou collectif, toujours et encore pour le bien de tous !
Si, l’homme savait discerner ce qui nuit à la prospérité et ce qui la favorise, le monde d’aujourd’hui serait différent, probablement meilleur. Mais ce sont souvent les intérêts les plus factices qui l’autorisent à estimer indiciblement les nécessités réelles d’un peuple.

S’agissant de la tolérance, il n’est plus un secret pour quiconque de savoir que tant nous n’accepterons pas le droit à la différence, aucun progrès ne sera possible, aussi sincères et légitimes seront nos aspirations. Cependant, c’est grâce à l’abnégation de quelques êtres d’exception disséminés ici ou là sur la planète que de véritables progrès ont été réalisés au sein même de l’esprit de l’homme. C’est pourquoi, l’humanité a essayé de bannir à jamais ce poison mental qu’est l’ignorance source de superstition et de sectarisme.
Or, le mépris de l’autre ne fait que perdurer. Les conflits se répètent et les haines ne justifient en rien ces actes dits « la bonne cause » qui, à terme, poussent chacun au dans les abîmes du désespoir jusqu’à la douleur de l’âme. Tant que les hommes tenteront d’agir au nom de quelques valeurs réelles ou humaines, mais en soutenant, en surestimant le séparatisme, la paix entre les hommes ne sera qu’un leurre.
Quelque soit notre rang social, notre choix politique, nos convictions religieuses, notre philosophie personnelle de la vie et le pouvoir qui nous a été conféré par quelle l’autorité que ce soit, nous restons à jamais, individuellement, un maillon de la chaîne humaine, elle-même liée à celle de l’univers. Que cela soit admis par nous comme une utopie, que cela nous plaise ou non, que nous le voulions ou pas il en est bien ainsi par la grâce du Très-Haut. Car il n’a jamais été question de ce que nous désirions dans l’ordre des choses, mais plutôt de ce qui « est » dans cet ordre. Cette force d’âme n’est pas facile à atteindre, parce que nos préoccupations sont figées par des insatisfactions permanentes engendrées par des moyens plus sournois et transitoires. Rares celles et ceux qui parviennent à cet état d’esprit, à considérer par la voie du juste milieu, la précarité du superflu ; on les distingue par leur simplicité au milieu de tous, bien qu’ils sont qualifiés de gens hors du commun.
Ce qui est hors du commun est accepté comme marginal parfois positivement, souvent négativement. Et il en été toujours ainsi dans l’évolution de l’humanité sinon, nous serions toujours affectés par nos anciennes croyances et superstitions. Par exemple, en croyant, que la terre est plate, qu’elle est le centre de l’univers, que, par vanité et orgueil, les hommes sont les seuls « Maîtres » de l’espace, indépendants de tout environnement naturel et cosmique, que le meurtre est un permis légal, une forme de justice menant à la paix, etc.

En cette fin d’année 2004, je crois devoir ici, à travers et entre ces lignes, vous adresser mes vœux les plus sincères dans votre cheminement « personnel » de progrès. Que ceux-ci vous préservent des attaques de la médiocrité et de l’ignorance, que la sagesse vous apporte la lumière et pour mieux accepter celles et ceux qui ne nous ressemblent pas et enfin, la paix. Que cette année 2005 vous donne l’occasion de prendre de nouvelles résolutions constructives. Le courage d’aimer, une action si difficile à réaliser pourtant si simple à comprendre et à accepter !
Ceci, pour ne pas nous donner un nom ni une référence, pour paraître ou se démarquer de l’Unité que nous formons mieux connu sous le vocable qui nous est si familier : « fraternité » !

Rv 13/12/2004


 

 

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